Les deux institutions sont devenu partenaire afin de renforcer la campagne contre la violence sexuelle. Déjà en 2010, l’Église catholique avait lancé une campagne pour sensibiliser l’opinion publique contre la violence sexuelle et à aider aux victimes à accéder aux services judiciaires et sanitaires.
Le programme, financé par Caritas, prévoit le paiement des coûts des assurances sanitaires aux victimes et l’assistance légale. L'evêque de Byumba, Mgr. Servilien Nzakamwita a remarqué que, malgré les succès remportés jusque là, il reste beaucoup à faire pour affronter les violences basées sur la différence entre les sexes qui, dans la majeure partie des cas, ont des femmes pour victimes.
Stop à la violence contre les femmes
Selon l'exêque, «Beaucoup de personnes n’ont aucune connaissance de la loi qui frappe ceux qui se rendent responsables de violences basées sur la différence entre les sexes alors que de nombreuses victimes ne savent pas encore où chercher de l’aide.» L’Evêque de Byumba a observé que certaines victimes ne bénéficient pas à temps des services nécessaires alors que les coupables ne sont pas poursuivis par la justice de manière appropriée. L’Evêque a par ailleurs dénoncé le fait que les médecins n’aident pas les victimes de violence en fournissant la documentation médicale nécessaire pour déposer plainte: «Les criminels qui se rendent responsables de ces actes sont protégés par certains fonctionnaires qui parfois les aident à s’enfuir. Il existe une corruption à différents niveaux.» C'est pourquoi l'Église collabore maintenant avec la police pour que la lois soit appliqué aussi dans les zones reculées de notre pays voisin; exemple à suivre aussi dans les Uele!
Selon l'exêque, «Beaucoup de personnes n’ont aucune connaissance de la loi qui frappe ceux qui se rendent responsables de violences basées sur la différence entre les sexes alors que de nombreuses victimes ne savent pas encore où chercher de l’aide.» L’Evêque de Byumba a observé que certaines victimes ne bénéficient pas à temps des services nécessaires alors que les coupables ne sont pas poursuivis par la justice de manière appropriée. L’Evêque a par ailleurs dénoncé le fait que les médecins n’aident pas les victimes de violence en fournissant la documentation médicale nécessaire pour déposer plainte: «Les criminels qui se rendent responsables de ces actes sont protégés par certains fonctionnaires qui parfois les aident à s’enfuir. Il existe une corruption à différents niveaux.» C'est pourquoi l'Église collabore maintenant avec la police pour que la lois soit appliqué aussi dans les zones reculées de notre pays voisin; exemple à suivre aussi dans les Uele!
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