Selon les estimations de l'ONU, le financement des rebelles FDLR au Kivu, environ 3000 hommes armés, se financent par une grande participation au commerce inter-congolais, en particulier dans les domaines des mines d'or dans le district de Lubero (NK). Il y a là de bonnes opportunités de gains dans l'approvisionnement des zones minières avec des produits de consommation tels que «l'alcool, les vêtements, la farine, les piles, des radios, des panneaux solaires, le savon.» Ces produits sont achetés en Ouganda, et vendu pour cinq fois le prix d'achat aux mineurs congolais.
Les épouses des officiers de l'armée impliquées
«Parce que les militaires des FDLR contrôlent les mines, ils profitent aussi des impôts de leurs concessionnaires et des garanties de sécurité», écrivent les experts. Les bénéfices sont tellement élevés que «la quasi-totalité de commandants» y sont impliqués. Un part fixe des bénéfices doivent être accordée à la direction des FDLR.
Ces rentrées de fonds sont particulièrement important pour les FDLR parce que la milice achète ses armes depuis des années des troupes gouvernementales congolaises. Mais pas seulement les armes parviennent des FARDC, mais aussi l'équipement et même des uniformes. Cette circonstance sont décrites par de nombreux témoins et aussi dans le procès en crimes de guerre contre les dirigeants des FDLR à Stuttgart (Alémani, Erópa). Les experts de l'ONU confirment que «plus de 95 pour cent» des armes et des munitions des FDLR sont donc directement de l'armée congolaise. Les épouses des officiers de l'armée qui vivent à Goma dans le Nord-Kivu, sont actives dans cette entreprise comme intermédiaires – même si leurs maris sont le moment donné impliqués dans des opérations de combat contre les rebelles.
Kabila verse 60 000 000 Fc à la FDLR
C'est à cause de cette implication de l'armée et d'autres détails embarrassants pour le gouvernement Kabila, que le rapport a été publié jusque maintenant, après les élections, bien que les experts de l'ONU l'ont déjà fini au milieu d'Octobre passé.
En plus, toujours selon les experts des Nations Unis, le gouvernement Kabila avait payé 60 000 000 Fc à un commandant des FDLR, le Major-Général Sylvestre Mudacumura, comme une incitation pour les négociations. Celui-ci a pris l'argent, mais n'est pas entré en négociations. Les rebelles ont également reçu de l'argent de l'Église du Christ au Congo, mais là, les détails manquent dans le rapport.
C'est à cause de cette implication de l'armée et d'autres détails embarrassants pour le gouvernement Kabila, que le rapport a été publié jusque maintenant, après les élections, bien que les experts de l'ONU l'ont déjà fini au milieu d'Octobre passé.
En plus, toujours selon les experts des Nations Unis, le gouvernement Kabila avait payé 60 000 000 Fc à un commandant des FDLR, le Major-Général Sylvestre Mudacumura, comme une incitation pour les négociations. Celui-ci a pris l'argent, mais n'est pas entré en négociations. Les rebelles ont également reçu de l'argent de l'Église du Christ au Congo, mais là, les détails manquent dans le rapport.
par Esperence Monoko Polele
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