Sa lutte pour transformer le Zaïre en une vraie démocratie qui respecte les droits des Congolais comme la France respecte les droits des Français, avait commencé en prenant le pouvoir à la tête de la conférence nationale souveraine. Mais cette tentative s’était soldée par un échec faute de mal connaître la médiocrité de la classe politique congolaise qu’il essayait d’aider et à cause de son ignorance personnelle concernant ses propres droits que lui confère la déclaration universelle des droits de l’homme pour se lancer dans la course du pouvoir politique. En effet, la religion et l’athéisme sont des convictions personnelles et ne peuvent pas constitués une raison pour être exclu du droit de se présenter aux élections présidentielles dans son pays.
Maintenant, l’homme de Dieu, Mgr. Mosengwo a atteint la maturité politique, théologique et diplomatique. Il est le premier Africain à obtenir le titre de docteur en sciences bibliques de l'Institut Biblique Pontifical à Rome. Il est devenu aujourd'hui une puissance intellectuelle indiscutable dans la République démocratique du Congo.
À la question de savoir si l’Église fait la politique, son site Internet répond: «Oui, mais à sa façon et de manière variée.»
- Vodrait-il suivre l'exemple du pape Jean Paul II, l’homme qui a fait tomber le mur de Berlin et a béni les pays de l’Europe de l’Est avec la vraie démocratie qui respecte les droits de l’homme?
- Ou bien choisira-t-il de fermer les yeux à la misère de son peuple et cacher son talent d’or comme le serviteur déclaré hypocrite par notre Seigneur Jésus-Christ dans la sainte Bible?
Pour l’instant, Mgr. Laurent Monsengwo est incontestablement le candidat virtuel à la présidence du Congo dont le peuple est exploité, terrorisé et écrasé par une fausse démocratie.
D’abord, sa nationalité n’est pas discutable, car il est 100 % Congolais et il montre bien sur son site la région de Bandundu dont il est issu. Enfin, cet homme de Dieu qui parle et écrit 14 langues et a le goût de conquérir des diplômes. Quel contrast avec le niveau d'éducation du chef d'état actuel ou celui des officiers à la tête de l'armée nationale.
par Esperence Monoko Polele
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Commentaires en français et en lingála sont acceptés. Il doivent être signé. Avant la publication, ils sont lus par la rédaction.