jeudi 28 mars 2013

Biléi ya Nkóló

Pámba téé, matéya napesákí bínó, nazwákí yangó epái ya Nkóló. Na butú wana batekaki yé, Nkóló Yezu akamataki lipa, apesákí Nzámbé melesi, akatakikatakí yangó, mpé alobaki boye: «Óyo ezali nzóto na ngáí, napesí yangó pɔ na bínó. Bosálaka boye pɔ na kokanisaka ngáí.»

Ndéngé móko mpé, tángo balálisí kolía, akamátí kɔpɔ mpé alobí boye: «Kɔpɔ óyo ezali kotía Boyókani ya sika; napesí makila na ngáí pɔ na kokokisa yangó. Mbala nyɔnsɔ bokobanda komɛla yangó, bosálaka boye pɔ na kokanisaka ngáí.» Boye, mbala nyɔnsɔ bokozala kolía lipa óyo mpé komɛla kɔpɔ óyo, bokobanda kosakola liwâ ya Nkóló, tii mokolo ye akozonga.

na Santu Polo

paru dans Itimbiri ya Sika du 28 mars 2013
© 2013 Sika Sika SPRL, Aketi



Vous avez de la parenté à Kinsásá, Amérika, Erópa? Dites leurs de s'inscrire à itimbiri-sika.blogspot.com pour recevoir chaque semaine des nouvelles du pays par courriel.

jeudi 21 mars 2013

Buta frappé par un ouragan

La cure de Buta (archives).
(OKP) Les tôles des toits de plusieurs maisons et batiments publics de la ville de Buta, chef-lieu du Bas-Uele, ont été emportées par un vent violent qui a précédé la pluie diluvienne qui s’est abattue dans ce territoire le 8 mars dernier.

Le commissaire de district du Bas-Uele, Joseph Bulu Bobina Bogila, a indiqué que plusieurs familles sinistrées ont réclamé de l’assistance des autorités locales, qui, eux aussi, sont frappés.

paru dans Itimbiri ya Sika du 21 mars 2013
© 2013 Sika Sika SPRL, Aketi


Vous avez de la parenté à Kinsásá, Amérika, Erópa? Dites leurs de s'inscrire à itimbiri-sika.blogspot.com pour recevoir chaque semaine des nouvelles du pays par courriel.

jeudi 14 mars 2013

Falaswa azalí pápa ya sika

Falaswa azalí pápa ya sika bánda lóbí.

Pápa Falaswa azaláki episkopi ya Buenos Aires (Argentina, Amérika latina). Azalí jésuite.

Selon Radio Vatican, il s'agit du premier pape non européen depuis Grégoire III il ya 1200 ans. Il a était annoncé sur la même fréquence qu'il est resté «très humble». Il se lève à 4:30 du matin et termine sa journée à 21:00. Il n'a pas de voiture, se déplace en transports en commun et a renoncé à occuper la somptueuse résidence des archevêques de Buenos Aires. Dans son petit appartement près de la cathédrale, il a préparé les repas lui-même. On le dit très attentif aux besoins de ses collaborateurs, qui peuvent le joindre à tout moment sur une ligne téléphonique directe. Il a choisi le nom de Falaswa en honneur de Santu Falaswa y'Assisi, fondateurs des frères franciscais et caractérisé par la prière, la joie, la pauvreté, l'évangélisation et le respect de la création.

paru dans Itimbiri ya Sika du 14 mars 2013
© 2013 Sika Sika SPRL, Aketi


Vous avez de la parenté à Kinsásá, Amérika, Erópa? Dites leurs de s'inscrire à itimbiri-sika.blogspot.com pour recevoir chaque semaine des nouvelles du pays par courriel.

jeudi 7 mars 2013

Les accords d'Addis-Abeba ne changeront rien

Le discoureur annonce:
Bla, bla, bla de plus.
(Fides) – Le peuple se méfie de l’accord d’Addis-Abeba (voir notre édition de jeudi passé). Il sait que tout ces accords signés dans le passé n'ont montré aucun résultat positiv ou au moins neutre. 

Les représentants de l'église catholique ont envoyé une dépêche au Vatican dans laquelle ils déplorent que une fois de plus, cet accord ne va pas à la racine du problème. Le premier problème sont les groupes armés étrangers d’origine rwandaise (FDLR) et Ougandaise (LRA, ADF-Nalu). Ceci montre qu’au Rwanda et en Ouganda il y a aussi des problèmes non résolus. Sinon ces groupes armés n’auraient aucune raison pour se réfugier dans le Uele, l'Ituri et le Kivu. Selon les hommes de l'église, même une opération militaire avec un mandat plus robuste ne sera pas suffisante. Ils demandent une action internationale vis-à-vis des régimes rwandais et ougandais, afin qu’eux aussi s’engagent dans un processus de démocratisation et de réconciliation dans leurs Pays respectifs.

Une autre problème non resolu, mais très fondamentale sont les ressources naturelles. L’accord prévoit en effet de «renforcer la coopération régionale, notamment par le renforcement de l’intégration économique, avec une attention particulière à la question de l’exploitation des ressources naturelles». Ceci dit tout et rien. Cela pourra même dire qu'une matière première, peu importe où elle se trouve, appartient à tous et peut être partagée entre tous. C'est au moins l'interprétation du Réseau Paix pour le Congo. 
par L.M.

paru dans Itimbiri ya Sika du 7 mars 2013
© 2013 Sika Sika SPRL, Aketi