Ce jour de la Commémoration des fidèles défunts, nous vourdrons bien attirer l'attetnion de nos lecteurs sur la pérversité de la guerre si mortelle.
Les moyens de transports sont complètement interrompu depuis que la guerre a repris, partiquement déjà depuis quatre ans: Les petits trains vicinal du Uele immobilisés, les rivières et la fleuve désertes. Par conséquence, les produits agricole de notre région trainent au port d'Aketi et y pourissent. Mais ce n'est pas seulement notre cité qui est privé du reste du monde. Aussi Bumba sur les rives du fleuve en Equateur subit le même sort. J'ai vu du café, du manioc et du riz; des recoltes entières qui pourissent en attendant un pousseur qui ne viendra plus.
Bon, certains produits sont partis pour l'Ouganda, si l'état des routes l'a permis pendant la saison sèche. La population de la capitale devrait avoir faim, pendant que les médicaments nous manquent comme aussi les habits. Et le sel. Certes, cela ne vient pas de Kinshasa, mais de Kisangani. Et mille kilomètres à travers la forêts, plain de rebelles et de soldats sauvages n'est pas un jeu d'enfant. Courageux les cyclistes qui le font quand-même. Si nous connaissons les risques qu'ils parcourent avec leur vélo, nous vourdrions bien leur payer ce qu'ils demandent - sauf ou prendre l'argent, si tout l'économie s'est arrêté et le reste fut pris par des hommes qui prétextent nous libérer?
Ai-je écrit libérer? En effet, ces hommes armés nous rapportent le choléra, la tuberculose, la fièvre hémorragique de Congo-Crimée, la maladie du sommeil et le sida. Même sans connaître en détails tous ces maladies: elles sont mortelles. Évitons tout contact avec tout personne qui n'est pas de chez nous. Et prions le Seigneur que cette guerre fini enfin. Car il n'y avait jamais une geurre aussi désastreuse et mortelle depuis des temps immémoriaux (ou au moins depuis la fondation de ce journal en 1891). Nous avons vécu la décolonialisation, les Simba et les opérations des dragons, mais jamais, la souffrance avait des conséquence à long terme aussi dures.
Commentaire par Esperence Monoko Polele
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