jeudi 24 novembre 2011

L'avenir de nos enfants
Rêves et réalités

Reportage photo
emp/Notre photographe a fait le tour des villages de la région, afin de nous apporter la lumière dans la vie du petit monde des enfants. Ils ont tous une maison et une école, ils apprennent tous, qu'ils ont à contribuer pour le bien de la famille.

Et malgrès la vie souvent modeste dans le villages, ils se sentent bénis par les choses qu'ils sont les plus chers - ce qui est un animal ou une poupée, un outil ou une radio, une couverture ou une robe. Même leurs yeux s'illuminent, l'avenir est devant eux. Beaucoup d'entre eux veulent devenir médecins ou enseignants, hommes politiques ou ecclésiastiques. Cela montre que la responsabilité sociale n'est pas seulement de la théorie, mais une réalité vécue. N'oubliez pas de donner de l'avenir à nos enfants et allez voter le lundi!


Félix NtihanabayoFélix Ntihanabayo a neuf ans. Étant pygmé, il vit avec sa mère et deux frères en marge de la société. Bien sûr, Félix aide en rentrant de l'école - chercher de l'eau, par exemple. Mais il préfère jouer avec son lapin, c'est son trésor. S'il a des petits, ceux-ci sont vendus au marché, une contribution pour la famille. Plus tard, Félix veut conduire une moto.

Joseline NohimirimanaSi Joseline Nohimirimana a quelque chose à montrer, c'est la lampe que lui a offert son père une fois - sous la forme de leurs fleurs, elle donne la nuit une belle lumière aussi aux parents et à ses frères. Joseline a douze ans et va à l'école primaire dans le village. Quand elle rentre à la maison, elle balaye le plancher et aide à faire la vaisselle. Souvent, il reste le temps à jouer. Son souhait pour l'avenir est de devenir médecin.

Makoro Tuyishime NtamugengaMakoro Tuyishime Ntamugenga a huit ans et elle est efficace et aide sa mère et sa sœur, où elle peuve.Avec la houe, qu'elle a acheté pour deux mille francs au marché, elle cultive le champ qu'ils ont loué pour la culture des haricots et du maïs. Makoro veut devenir une sœur réligieuse ou enseignante. Elle rêve d'une nouvelle maison dure. Dans la soirée, Elles vont toujours chez les voisins afin d'y passer la nuit en toute sécurité.

Renata NiranzeAussi Renata Niranze, 14 ans, de Rutshuru, vit sans père - il a été tué sur le champ pendant la guerre. Après l'école, elle assure que sa mère et les quatre frères et sœurs ont assez d'eau pour le lendemain. Renate est fier sur la atte, que sa mère a tressé pour elle. Elle est importante pour elle parce qu'elle dort sur elle. Un jour, elle voudrait avoir un bon matelas, peut-être comme sœur réligieuse, parce qu'elle envisage d'entrer au service de Dieu.

Harera NzabonimpaDevant la maison familiale à Ntamugenga, Harera Nzabonimpa présente la tablette que ses sœurs ont fait pour lui afin qu'il apprenne à écrire. Le garçon de huit ans a quatre frères et sœurs, et un bébé est est en route. Harera sait également qu'il est juste d'aider les parents - il va chercher l'eau, nettoie et joue avec les enfants. Harera deviendrait un jour prêtre, se qui n'exclut pas une autre grand rêve: posséder une fois une voiture.

par Esperence Monoko Polele
Photos: Lukasz Sokol


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1 commentaire:

  1. is/Au moins 10 suspects de la LRA ont attaqué le 20 novembre un groupe de marchands revenant du marché Nabiapay à Namibia, près de Duru, en RDC. Les forces de sécurité ont empêché la LRA de piller tous les biens. L'affrontement a duré 30 minutes et pas de forces de sécurité, ni les civils ont été blessés.

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