* ** *** ** *
La situation est, comme le nom de l'hôpital en question, paradoxe: Il y a un hôpital, il y a des malades et il y a in infirmier. Il est expérimenté, mais pas médecin. Donc, il n'a pas le droit d'opérer. La question qui se posait fut: opérer sans avoir le droit ou laisser mourir les patients. Qu'est ce qui vaut plus: la vie d'un homme ou des ordres? De l'autre côté le médecin inspecteur du Haut-Uélé. Lui aussi, il a raison: Une opération n'est pas un jeu d'enfant. Les études de médecin sont plus approfondis que ceux d'infirmier. Il a du intervenir. De l'autre côté, le médecin inspecteur représente une autorité, un état qui n'est pas capable de fournir aux hôpitaux des médecins, ou au moins les fonds avec lesquels l'hôpital pourrait engager un chirurgien. Interdire les opérations c'est une chose, mais passe-t-il régulièrement à Durba pour opérer lui-même? Ou se retranche-t-il dans son bureau, le médecin inspecteur?commentaire par Esperence Monoko Polele
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Commentaires en français et en lingála sont acceptés. Il doivent être signé. Avant la publication, ils sont lus par la rédaction.