Ces 6000 refugiés sont maintenant dans une dizaine de villages notamment 61 PK, Bamangana vers Doruma et Nambikili a plus de 50 kilomètres de Dungu. Ils vivent dans des conditions très précaires. Selon le président de la société civile, les refugies n'e recoivent pas d'aide à cause des attaques régulières des terroristes sur les routes qui relient les villages.
Les déplacées aimeraient bien aller dans leurs champs, mais ils ne peuvent pas s’y rendre par peur de représailles des hommes armés. Sans accès aux champs et sans aide humanitaire, la situation est très précaire. La société civile demande que l'aide humanitaire soit escorté par des militaires et des casques bleus de la Monuc.
Pour le bureau de la Coordination des Affaires Humanitaires (OCHA) à Dungu, le principe humanitaire n’autorise pas la distribution des vivres dans les régions insécurisées. (Pour ne pas mettre en danger la vie des forces armées et de la Monuc?)
Pour l’administrateur du territoire de Dungu, l’activisme terroristes de groupe LRA a diminué d’ampleur grâce aux efforts des FARDC et de la Monuc même si la situation n'est pas du tout devenu stable.
Pour l’administrateur du territoire de Dungu, l’activisme terroristes de groupe LRA a diminué d’ampleur grâce aux efforts des FARDC et de la Monuc même si la situation n'est pas du tout devenu stable.
par Esperence Monoko Polele
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