FP/Qu'est-ce que Wiki-Liki raconte sur les conflits oubliés du monde? Ce sont des informations inquiétants. Itimbiri ya Sika publie ici des documents et des dépêches secrets des abmassades des États Unis au gouvernement américain concernant notre région.
Deux jours avant l'indépendance du Sud-Soudan, nous aprenons que le Nord veut perturber l'indépendance du Sud-Soudan avec des moyens qui auront aussi un impact sur la région du Uele. Ces informations parviennent des dépêches des ambassadeurs américains qui les ont envoyé au président des États Unis. Dans ces dépêches dit «Wiki-Liki», qui étaient déstiné uniquement au président américain et pas du tout pour la publication dans ce journal, les diplomates osent dire ce qui n'est jamais dit: la vérité.
Ce que nous savons: L'année 2011 sera une année charnière pour le Soudan. Dans le cadre d'un accord de paix de 2005, négocié par les États-Unis pour mettre fin à plusieurs décennies de guerre civile entre le Nord et le Sud du pays, Sud-Soudan a voté en Janvier sur un référendum pour décider de faire sécession et de ne plus continuer à faire partie du Soudan. Un grand nombre d'analystes dans les ambassades des États Unis avertissent que le gouvernement du Nord ne laissera pas sa moitié sud (en particulier les gisements de pétrole lucrative le long de la frontière) sans se battre.
Kenia a livré des armes de l'Ukraine au Sud-Sudan
Ce que nous apprenons: En prévision du référendum, tant au nord qu'au sud du Soudan, des grands manoeuvres militaires ont eu lieu. Une série de dépêches documentent l'étendue de ces dispositions dans le sud, dont le gouvernement à Juba a importé des armes en provenance d'Ukraine à travers le gouvernement au Kenia.
L'itinéraire de transit a été découvert par les diplomates américains en septembre 2008, quand une livraison d'armes a été saisi par des pirates aux côtes de la Somalie. Selon des sources au Kenia, des chars se trouvaient à bord du navire en question, mais la documentation suggère qu'ils peuvent en fait avoir été dirigé pour «GOSS» (le gouvernement du Sud-Soudan). Les soupçons n'ont jamais été prouvées et la cargaison a été livrée à Mombasa, au Kenia. Mais une dépêche du 8 octobre 2008 confirme que «33 chars ukrainiens du typ T-72 et d'autres munitions et équipements» à bord du navire étaient en effet déstiné pour Juba.
Depuis l'année dernière, le Ministère de la Défense du Kenia a en effet joué un rôle majeur en aidant le Gouvernement du Sud Soudan de recevoir les livraisons d'armes par le gouvernement de l'Ukraine. Lorsque les envois sont déchargés au port de Mombasa, ils sont transportés par rail vers l'Ouganda, et de là au Sud-Soudan. Les responsables militaires ont exprimé leur malaise face à cette disposition, cependant, et en clair ils ont avoué aux diplomates américains que les ordres viennent «d'en haut», à savoir, le président Kibaki.
Les États Unis s'inquiètenent
Le gouvernement des États-Unis a soulevé la question avec le gouvernement de l'Ukraine, documenté dans une autre dépêche du mois de novembre 2009, disant que les ventes d'armes représentaient «des actions délibérée du gouvernement ukrainien qui sont contraires à la philosophie des États-Unis sur l'exportations [] des armes.»
Dans les documents est avertis des tensions dans l'est de l'Afrique dans les mois à venir. Bien que Sud-Soudan est soutenu depuis longtemps par les pays voisins comme le Kenia et l'Ouganda, il a rarement été aussi explicite.
Le gouvernement de Khartoum finance notre malheur
La balle courbe: voisin du Soudan, l'Ouganda, accuse Khartoum de payer et d'héberger les rebelles ougandais du terroriste Joseph Kony, leader de la Lord's Resistance Army (LRA), un groupe rebelle brutale qui a mené l'insurrection la plus longue en Afrique. Le président ougandais Yoweri Museveni a déclaré au sous-secrétaire d'État aux Affaires africaines Jendayi Frazer en Septembre 2007 que «le Soudan, le Soudan, le Soudan, le Soudan" a été derrière la longévité de la rébellion.» Et dans une autre dépêche secrete dont Itimbiri ya Sika est en possesion d'une copie en langue anglaise «[Museveni] dit que même si le gouvernement de Khartoum ne pouvait pas fournir des armes à la LRA, il était en contact constant avec la LRA et leurs fournisseures de contrebande.»
Ce que nous savons: L'année 2011 sera une année charnière pour le Soudan. Dans le cadre d'un accord de paix de 2005, négocié par les États-Unis pour mettre fin à plusieurs décennies de guerre civile entre le Nord et le Sud du pays, Sud-Soudan a voté en Janvier sur un référendum pour décider de faire sécession et de ne plus continuer à faire partie du Soudan. Un grand nombre d'analystes dans les ambassades des États Unis avertissent que le gouvernement du Nord ne laissera pas sa moitié sud (en particulier les gisements de pétrole lucrative le long de la frontière) sans se battre.
Kenia a livré des armes de l'Ukraine au Sud-Sudan
Ce que nous apprenons: En prévision du référendum, tant au nord qu'au sud du Soudan, des grands manoeuvres militaires ont eu lieu. Une série de dépêches documentent l'étendue de ces dispositions dans le sud, dont le gouvernement à Juba a importé des armes en provenance d'Ukraine à travers le gouvernement au Kenia.
L'itinéraire de transit a été découvert par les diplomates américains en septembre 2008, quand une livraison d'armes a été saisi par des pirates aux côtes de la Somalie. Selon des sources au Kenia, des chars se trouvaient à bord du navire en question, mais la documentation suggère qu'ils peuvent en fait avoir été dirigé pour «GOSS» (le gouvernement du Sud-Soudan). Les soupçons n'ont jamais été prouvées et la cargaison a été livrée à Mombasa, au Kenia. Mais une dépêche du 8 octobre 2008 confirme que «33 chars ukrainiens du typ T-72 et d'autres munitions et équipements» à bord du navire étaient en effet déstiné pour Juba.
Depuis l'année dernière, le Ministère de la Défense du Kenia a en effet joué un rôle majeur en aidant le Gouvernement du Sud Soudan de recevoir les livraisons d'armes par le gouvernement de l'Ukraine. Lorsque les envois sont déchargés au port de Mombasa, ils sont transportés par rail vers l'Ouganda, et de là au Sud-Soudan. Les responsables militaires ont exprimé leur malaise face à cette disposition, cependant, et en clair ils ont avoué aux diplomates américains que les ordres viennent «d'en haut», à savoir, le président Kibaki.
Les États Unis s'inquiètenent
Le gouvernement des États-Unis a soulevé la question avec le gouvernement de l'Ukraine, documenté dans une autre dépêche du mois de novembre 2009, disant que les ventes d'armes représentaient «des actions délibérée du gouvernement ukrainien qui sont contraires à la philosophie des États-Unis sur l'exportations [] des armes.»
Dans les documents est avertis des tensions dans l'est de l'Afrique dans les mois à venir. Bien que Sud-Soudan est soutenu depuis longtemps par les pays voisins comme le Kenia et l'Ouganda, il a rarement été aussi explicite.
Le gouvernement de Khartoum finance notre malheur
La balle courbe: voisin du Soudan, l'Ouganda, accuse Khartoum de payer et d'héberger les rebelles ougandais du terroriste Joseph Kony, leader de la Lord's Resistance Army (LRA), un groupe rebelle brutale qui a mené l'insurrection la plus longue en Afrique. Le président ougandais Yoweri Museveni a déclaré au sous-secrétaire d'État aux Affaires africaines Jendayi Frazer en Septembre 2007 que «le Soudan, le Soudan, le Soudan, le Soudan" a été derrière la longévité de la rébellion.» Et dans une autre dépêche secrete dont Itimbiri ya Sika est en possesion d'une copie en langue anglaise «[Museveni] dit que même si le gouvernement de Khartoum ne pouvait pas fournir des armes à la LRA, il était en contact constant avec la LRA et leurs fournisseures de contrebande.»
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Wiki-Liki ezalí níni?i.s./Wiki-Liki (ou Wiki-Leaks en langue anglaise) est un site internet (en lingála: Ɛntɛrnɛ́tɛ). Il publie des dépêches secrets des gouvernements. Wiki-Liki est indépendant des gouvernements. Internet est un réseau international qui regroupe un grand nombre d'ordinateur et qui permet l'échange d'information. Ɛntɛrnɛ́tɛ tǒ Internet ezalí rezó epúsi enɛ́nɛ. Ezalí lisangá lya kompitá itíyaka na nsinga. Itimbiri ya Sika a accès à ce réseau d'information.
Les informations que les gouvernements voudraient cacher sont publié par les plus grand journaux du monde: New York Times ya Ameríka, Guardian (Mɔkɛ́ngɛli) ya Ingɛlɛ́tɛlɛ, Spiegel (Talatála) ya Alémani tǒ Neue Zürcher Zeitung (Zuluná sika ya Tsúri) ya Swisi mpé Itimbiri ya Sika na Kongó.
Wiki-Liki esakolí lokomá na nkúku 92 000 na ɛtumba ya Afganistáni (Azía ya Katikáti), lokomá na nkúku 391 000 na ɛtumba ya Irak (Azía ya Wɛ́sita) mpé lokomá na nkúku 250 000 na baguvɛnɛmá ya mabelé. Bazalí lokomá míngi míngi. Itimbiri ya Sika emɔ́nisí libómbí mpɔ̂ na Kongó:
Wiki-Liki esakolí lokomá na nkúku 92 000 na ɛtumba ya Afganistáni (Azía ya Katikáti), lokomá na nkúku 391 000 na ɛtumba ya Irak (Azía ya Wɛ́sita) mpé lokomá na nkúku 250 000 na baguvɛnɛmá ya mabelé. Bazalí lokomá míngi míngi. Itimbiri ya Sika emɔ́nisí libómbí mpɔ̂ na Kongó:
- libómbí ya guvɛnɛmá
- libómbí ya mwǎna ya tatá Kabila
- libómbí ya polítiki
D'autres dépêches et informations secrets des grands puissances concernant le Congo seront publiés ultérieurement.
rédigé par Esperence Monoko Polele et l'équipe de la rédaction
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