Principale caractéristique: il s’agit d’une réserve autogérée. Constituée en association à but non lucratif en 2002, la population locale reçoit l’appui de certaines organisations internationales dont Gorilla Fund. John Alimbako, directeur de programme de la Réserve des Gorilles de Punia, explique l’origine du projet: « Lorsque l’État crée des parcs nationaux, il ne consulte pas la population locale. Nous avons créé cette réserve avec la population pour faire face aux parcs nationaux, pour ne pas admettre que l’État vienne et occupe cet espace.»
La RGPU tente d’éduquer la communauté locale à sauvegarder les gorilles des plaines se trouvant dans cette réserve ainsi que d’autres espèces rares comme les chimpanzés. Des projets d’écotourisme devraient permettre la construction et la réhabilitation des infrastructures dans ce corridor de 800 kilomètres carrés.
* ** *** ** *
Voilà un autre approche. Au lieu de voir un éventuel profit à court terme comme dans plusieurs territoires au Bas-Uele (Bondo, Aketi, …), on peu aussi penser à long termes.
Commentaire par Esperence Monoko Polele
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Commentaires en français et en lingála sont acceptés. Il doivent être signé. Avant la publication, ils sont lus par la rédaction.